C’est vrai qu’un agent responsable de la circulation routière, ou encore la police judiciaire doit avoir une raison valable pour envoyer votre véhicule à la fourrière. Vous pouvez interrompre un enlèvement si vous arrivez à temps.
Quelles sont les possibilités pour que votre véhicule ne finisse pas en fourrière ?
Un agent a remarqué que votre voiture est mal garée, il demande le propriétaire de la voiture et lui demande de bien garer sa voiture. Un agent constate que vous êtes en panne et que vous gênez la circulation, il vous aide à vous mettre de côté afin de vous laisser le temps de vérifier le problème. Sur ces deux cas, la police tolère parce que c’est un petit souci.
Dans le cas où, vous avez garé votre voiture sur un stationnement interdit, ne serait-ce qu’une seconde, vous aurez une amende, et si vous restez plus de 15 minutes sur cette place, l’agent a le droit d’appeler la fourrière. Vous pouvez encore arrêter l’enlèvement si votre véhicule n’a que deux roues posées sur le camion. Vous devrez payer l’amende et le frais de l’enlèvement tout de même. Si les 4 roues sont déjà sur le tracteur, vous ne pouvez plus rien faire. Et là, il est primordial de gérer vos émotions et ne pas dire des bêtises, sinon vous ne faites qu’aggraver votre situation. Vous devrez apeller la fourriere municipale avec son téléphone pour avoir les informations à la récupération de votre véhicule.
Ne faites pas des obstacles à la mise en fourrière
Vous serez dans le pétrin si vous protestez à la mise en fourrière de votre véhicule pour un retrait de permis de conduire allant jusqu’à 3 ans. Il est possible que votre voiture soit retenue à la fourrière durant 3 mois, et les frais de récupération seront énormes. Votre amande grimpera jusqu’à 3 750 euros, et vous pouvez faire des travaux d’intérêt général qui vont sûrement perturber votre quotidien.
D’autres peuvent courir une peine d’emprisonnement avec seulement des paroles qui ne sont pas bien pesées.
